le soleil a le visage plein d’ombres amers
ils lui ont casse le chandelier de la chambre bleue
la ou je perds mon espoir
la carte s’emmele
dans les lianes qui ont des racines profondes en moi
l’univers est rempli par les spheres
ou chante le choeur des merles
un arbre cache sous les pieds des nuages
me tire par le col
lorsque je passe par dessus cette terre
si mure
un eclat pique ma pensee

(Pentru Marie Lavie, nașa mea pariziană, în traducerea lui Virgil Mleșniță